Un site qui mérite d’y faire un saut
Entre Le Mans et Alençon et à moins de 2h00 de Paris, venez découvrir Saint Georges-le-Gaultier. Aux portes de la Normandie s’offrent à vous de vastes panoramas par-dessus les arbres et le bocage.
Au cœur de ces décors fascinants, on comprend que Guillaume-le-Conquérant éprouva quelques difficultés à conquérir ce territoire. Après un siège, il prit Fresnay en 1075. En 1562, les Huguenots mirent à sac la région.
Sous la Révolution Française, le pays gaultierin fut encore le théâtre des soubresauts de la chouannerie. Saint Georges le Gaultier ne pouvait offrir aux générations futures qu’un patrimoine riche et unique : croix archaïques, chapelle romane, gentilhommière, les moulins, le lavoir et le viaduc.
Nous vous invitons donc à aller à la rencontre des témoins de notre histoire.
==> Réservez votre Saut sur notre boutique en ligne
Le Viaduc :
Le monument le plus connu reste le viaduc Saint Georges le Gaultier qui appartient à la commune.
Au début du XXe siècle, la campagne sarthoise a été marquée par le développement des voies de communication et particulièrement par l’implantation du réseau ferroviaire.
Saint-Georges-Le-Gaultier conserve un des ouvrages d’art les plus impressionnants de cette période, le viaduc. En 1902, une enquête d’utilité publique est ouverte afin de juger de l’opportunité de l’ouverture d’une ligne à voie étroite entre Fresnay Sur Sarthe et Saint-Georges-Le-Gaultier.
Ce n’est qu’en 1913 que la décision est prise de faire passer la ligne Le Mans-Alençon par Saint-Georges-Le-Gaultier, nécessitant la construction d’un viaduc de 150 mètres de long pour franchir la Vaudelle.
L’entreprise Louis Parenteau d’Angers obtient le chantier et va utiliser une technique d’avant-garde, le procédé Hennebique. Ce dernier doit son nom à l’inventeur éponyme qui, sans formation d’ingénieur initiale, avait déposé en 1892 le brevet sur le béton armé.
Une centaine d’ouvriers, sous la direction d’un certain Lombardini, achève l’ouvrage, constitué d’un tablier de 150m de long de pierres et de béton reposant sur sept piles. Juste avant le déclenchement de la pose des rails la première guerre mondiale éclate. Et le viaduc n’a jamais vue un train passer dessus.
Le viaduc Saint Georges Le Gaultier de nos jours est utilisé pour la pratique sportive du saut en élastique.
Chaque week-end des aventuriers viennent frissonner en faisant le grand saut.
La pratique du saut en élastique est réalisée sous contrôle d’une équipe expérimentée et professionnelle.
Malgré une présence quelque peu irréaliste dans ce paysage, le viaduc fait le bonheur des randonneurs et des amateurs de sensations fortes avec le saut en élastique.
LE BOURG s’est développé sur un promontoire dominé par l’église. Le bourg, et surtout l’église, étaient les lieux de réunion de tous les habitants, riches et pauvres. C’est ici que se réunissaient les chefs de famille pour régler les problèmes de la communauté, Baptêmes, mariages et sépultures, c’est aussi là que tout commence et tout fini.
L’Eglise :
En 1126, la cure fut vendue et devint l’une des 40 du Chapitre de l’église du Mans. L’Evêque Guy d’Etampes l’acheta pour 40 livres avec le presbytère et les dîmes.
L’Eglise est sous l’invocation de Saint Georges. La dédicace à Saint Georges est très rare dans notre pays. En effet, Saint Georges était d’origine oriental. Selon l’une des nombreuses légendes dont sa vie fait l’objet, il était prince de Cappadoce et soldat des armées de Dioclétien, l’empereur romain. Il fut décapité comme chrétien en 303 à Lydda en Palestine (aujourd’hui Lod en Israël). Son culte est plutôt répandu chez les orthodoxes grecs et russes. Il est également le Saint patron de l’Angleterre. On ne peut savoir l’origine de cette invocation à Saint Georges. Peut-être est-ce l’œuvre d’un pèlerin qui a fait le voyage en Terre Sainte ?
Pendant la terreur des années 1790, l’église fut vendue pour 700 livres à un certain uérin. Sa veuve et ses enfants la cédèrent à prix coûtant à la commune en 1800. En contre partie, ils demandèrent 3 places gratuites pour eux et leurs descendants jusqu’à extinction de leur famille.
Architecture extérieure :
Comme la majorité de nos églises rurales, cette église est d’origine romane. Elle fut édifiée avec les pierres du pays : grès roussard, schiste gris et ardoise. Les agencements de pierres lui donne un aspect « tacheté » assez original. Les fenêtres sont romanes, une seule est ogivale et tréfilée. D’après les sources, il existait autrefois au dessus de la grande porte, un buste casqué représente Saint Georges, Saint protecteur de la dite Eglise.
Le riche curé Thébault de Mahaison restaura l’édifice à la veille de la Révolution Française : il fit réparer les autels, les fenêtres et arcades. Mais on peut encore distinguer les anciennes ouvertures romanes. Le clocher en flèche, ne correspond pas à l’architecture originale de l’édifice. L’escalier et l’embrasure sont d’architecture récente.
L’intérieur :
La décoration rappelle le style de nos églises rurales. Le plafond de l’édifice est voûté et recouvert de pans de bois. La charpente de bois est apparente.
Vous remarquerez la peinture murale située sur le mur-est de la nef.
A la croisée du transept fut placé le tombeau du Père Agin inhumé en 1616. Comme beaucoup des élites de la Société d’Ancien Régime, le curé du village s’est fait enterré dans la maison de Dieu. Usant de ce privilège, il se rapprochait ainsi de « la route menant au Paradis ».
Toutes les églises et chapelles même les plus pauvres étaient décorées de retables. L’utilisation de la terre cuite est caractéristique de la région Maine-Anjou, tous conçus par des artistes de la région.
Le retable est une concentration d’images pieuses, instruments de l’éducation populaire.
Le retable du Maître-autel, de l’église de Saint Georges-le-Gaultier est très intéressant :
Ce retable est daté de 1758 à 1762.
Par l’aplomb des lignes architecturales, la profusion des fleurs, fruits et feuillages, ce retable est un parfait exemple de ce que furent les « gloires » du XVIII° siècle. Les sculptures en taille douce sont de Claude Duflos.
L’artiste manceau, Joseph Lebrun a réalisé les 3 peintures.
– L’Adoration des bergers a une tonalité rurale. Comme pour se rapprocher des villageois, l’artiste a attribué la houlette, la cruche et le panier à ces personnages évangéliques. La scène devenait ainsi plus familière aux lecteurs. De plus, ces objets ont une valeur symbolique. Ce qui impose une 2ème lecture : l’agneau aux pattes liées est le symbole du sacrifice de Jésus. Le berger porte l’agneau sur ses épaules et lui tient les pattes en signe de soumission. Ici, l’agneau, sous la forme du présent est le symbole du Salut qui lui est offert.
– Le noli me tangere ou l’Apparition du Christ à Madeleine, représente la preuve de la divinité du Christ et de son pouvoir d’apparaître aux hommes après sa mort. Cette apparition du Christ à Madeleine est l’une des deux seules subsistantes dans notre département, l’autre étant à Savigné l’Evêque.
– La 3ème peinture est une représentation du Baptême du Christ.
Les retables placés dans le transept latéral nord évoquent toujours un épisode de l’Evangile.
Celui-ci est daté de 1762 et dédié à la Vierge et à sa mère Sainte Anne. Le thème de l’éducation de la Vierge par sa mère s’est beaucoup répandu après la Réforme tridentine. Aux yeux de la population locale, ces saintes étaient des modèles à suivre.
Les retables placés dans le transept latéral sud évoquent toujours un épisode de l’Epître.
Celui-ci est également daté de 1762. Les statues décorant ce retable représentent Saint Sébastien et Sainte Marguerite, tous deux martyrs, leurs cultes étaient très répandus dans la région.
Saint Sébastien, officier romain sous Dioclétien au III° siècle, aida les Chrétiens et fut dénoncé comme tel. Il fut condamné et transpercé de flèches.
Sainte Marguerite, quant à elle, a une existence complètement légendaire. Sa Foi lui permit de terrasser un dragon.
Saints thaumaturges, entre superstition et croyance religieuse, il n’y avait qu’un pas. Le concert des cantiques et la contemplation des statues de retables peints à l’image des lecteurs étaient les premières sources d’acculturation populaire.
Construit au-delà de la place, le village possède un des plus beaux presbytères du doyenné.
Le presbytère :
Ce presbytère fut construit par Armand Fidèle Constant Thébault de Mahaison, curé de la paroisse de 1779 à 1797. Il ne fut pas vendu comme Bien National en 1792 car il était destiné à loger l’instituteur. En 1800, il fut rendu à sa première destination. Appartenant maintenant à la commune, il fut fort bien restauré.
Il se compose d’un corps de logis et de deux ailes en saillie. Il est construit sur un étage. Les communs sont plus anciens. La grandeur de la demeure nous aide à imaginer ce que fut la vie du curé à la veille de la Révolution.
Les communs abritaient les chevaux et le matériel nécessaire à l’entretien de la cure. Il fallait également loger les domestiques, les vicaires et les prêtres habitués qui suppléaient le curé dans ses fonctions paroissiales.
La cour et le jardin subsistent encore. Le jardin était entouré de murs pour procurer un peu d’intimité au curé. La réputation des jardins de curés n’est plus à faire : légumes nouveaux, fleurs précieuses et arbres fruités étaient un des agréables privilèges accordés aux curés…
Dans la cour se trouve un bénitier qui manque d’être mis en valeur.
Si le presbytère mérite d’être vu, les autres maisons du bourg ne manquent pas d’intérêt : construites en pierres de roussard, elles nous laissent imaginer ce que fut la vie du bourg autrefois.
La Gentilhommière :
Sur la place se tient une gentilhommière, vieille maison seigneuriale typique du Maine. Les deux piliers du portail sont sculptés. Il y avait autrefois un linteau avec deux têtes de lions sculptées. Sur les deux portes de la maison sont encore identifiables deux écussons avec trois chevrons horizontaux. La cour et le portail ont disparu mais les fenêtres à meneaux sont de beaux exemples de l’architecture de la fin du Moyen-âge.
Avant de quitter le centre du bourg, il faut voir le calvaire du XVIII° siècle et rappeler que celui-ci fut commandé par le riche prêtre Thébault de Mahaison. En 1788 ou 1789, il appelle des missionnaires à Saint Georges où ils plantèrent un calvaire qui fut renversé par un ouragan en 1839 et restauré en 1841.
L’histoire médiévale du département est très riche en événements. Le territoire offre donc des témoins immobiles qui portent en eux les traces des grandes épopées.
« Le château de Saint Georges » qui n’est autre que le lieu-dit du LOGIS (à l’Ouest de la D.120). « Le Logis » était un château fort. Les ruines laissent supposer que le château était considérable. Il était entouré de larges douves qui subsistent en partie. Au début du siècle dernier, une partie du donjon se voyait encore. Malgré le remembrement, quelques morceaux de la muraille entourent la propriété. Ce fut en 1829, que la famille de l’actuel propriétaire acheta les ruines. Mais on devine encore ce que put être ce château. Les fascinantes anecdotes de Monsieur Vallet racontant des histoires de trésors cachés, des oubliettes dont il connaît l’emplacement exact et de souterrains menant aux édifices voisins. Il nous transporte dans un passé lointain et l’on se prend à rêver que le château est toujours invincible.
La Sarthe est une région où il existait autrefois beaucoup de seigneuries. La commune de Saint Georges est un bon exemple :
– Courtimont, Bois-Gency, Niaufle, la Bougrerie, la Souvelle, les Ecurettes, Brantalon, la rhônerie, Cheveillonet Montagneux étaient autrefois des fiefs.
La seigneurie de paroisse appartenait à la famille d’Argouges. Courtimont et Bois-Gency appartenaient à la famille de Courtavel de Pezé.
A la veille du XXI° siècle, beaucoup de ces fiefs sont transformés en exploitations agricoles. Mais le lieu des Ecurettes, quant à lui, qui était un de ces nombreux manoirs d’origine féodale, a gardé son caractère de demeure seigneuriale.
Quittez maintenant le centre du village pour aller à la rencontre des plus anciens vestiges de la région.
Les plus anciens vestiges de ce site sont les témoins de notre passé médiéval. Plus d’une dizaine de croix balisent l’espace gaultiérin. Chaque croix a une signification : baliser un carrefour, délimiter une juridiction ou prévenir d’une épidémie. Elles nous rappellent le temps où les pèlerins sillonnaient les chemins entre le Mont Saint Michel et Saint Jacques de Compostelle. Les voyageurs s’orientaient de clochers en croix.
LA CROIX, située au Sud-Ouest du bourg sur la D. 168 au lieu-dit « La Croix », est une croix de roussard. Au milieu du croisillon fut sculpté en creux un petit cercle, signe fréquent des croix jalonnant la route du Mont Saint Michel. Le centre devrait être évidé, d’où le nom de croix en forme de clef.
Suivant la D. 168 plus au Sud, vous trouverez une croix monolithique aussi d’origine médiévale. On ne sait si sa forme irrégulière est due à la maladresse du sculpteur ou le message d’une langage perdu.
Enfin, la plus belle de ces croix archaïques, parce que unique dans le grand-ouest, est celle à double traverse et aux 5 coquilles. Elle est implantée à un très ancien carrefour de 4 chemins, près d’un gué qui traversait la Vaudelle, non loin du viaduc. La coquille est l’emblème des pèlerins de Saint Jacques de Compostelle. Serait-elle le fruit d’un don de l’un d’entre eux ?
L’AUMONE (au Nord sur la D. 105), nom d’un des bordages du village confirme la thèse selon laquelle le village était une étape au cours de la longue pérégrination des pèlerins. Comme le nom de cette maison le laisse supposer, les propriétaires devaient l’hospitalité aux voyageurs.
La Chapelle Sainte Anne :
Bordant la Vaudelle, la Chapelle Sainte Anne devait être un lieu de dévotion et de pèlerinages. On ne connaît pas les origines de sa fondation, seule son architecture prouve qu’elle fut édifiée à la fin du XI° siècle.
La porte principale est romane, du côté droit, les 2 baies sont du même style.
En 1839, le pignon menaçant ruine fut détruit. Le clocher ne fut pas reconstruit mais la cloche fut placée dans une embrasure pratiquée au sommet du pignon.
L’intérieur est charmant. La vieille charpente supporte une voûte en bois. Le cœur est plus bas que la nef. Un Christ byzantin est suspendu dans la nef. Les visages naïfs des statues représentent Sainte Anne et la Vierge. On peut apercevoir en haut de la fenêtre géminée. Le buste d’une Vierge couronnée avec l’Enfant Jésus, en verre peint.
Vous remarquerez derrière cette petite chapelle, ce qui semble être un ancien bordage. Aujourd’hui utilisé comme atelier, cette bâtisse était autrefois une habitation paysanne. Elle est petite et modeste comme toutes les maisons paysannes du Maine. Le toit est recouvert de tuiles en terre cuite. On y entrait par une porte à 2 vantaux. Il y avait 2 pièces, une chaude et une froide. La pièces chaude, munie d’un four à pain, toujours construit au pignon, était la pièce principale où vivait toute la famille.
Cheveillon :
En suivant n’importe quel cours d’eau, vous trouverez un moulin.
A Saint Georges-le-Gaultier, la Vaudelle alimentait en eau 3 moulins : les moulins de la Rivière, Courgenou et Cheveillon étaient des moulins à farine. Les paysans venaient y porter leurs récoltes en échange de quelques sacs de farine. En 1789, les villageois dénoncèrent ce procédé injuste et là aussi les meuniers semblèrent un peu filous… Le moulin de Cheveillon était toujours en activité en 1910. Sa roue était alimentée par le dessus. Ce qui prouve son ancienneté. Ce type de roue est apparue à l’époque médiévale ; il permit d’utiliser la force motrice des très petits cours d’eau.
Aujourd’hui, le moulin est transformé en habitation. Le matériel de meunerie a disparu mais l’aménagement des berges subsiste et vous pouvez encore voir la maison du meunier.
Le Nord de la Sarthe est une région de bocage où domine la petite exploitation et l’habitat dispersé. La terre argileuse permit la culture du seigle, de l’avoine, et surtout du sarrasin. Mais au Nord et à l’Est du village, le paysage prend un petit air normand. Les rochers apparaissent, la terre s’appauvrie et ne permet pas l’élevage des moutons. Le XVIII° siècle voit apparaître les prémisses de l’industrialisation. Les bordagers s’équipèrent de métiers à tisser et produisirent des toiles qu’un marchand vendait en ville. Fresnay était une ville de tisserands. Encore au XIX° siècle, les villageois de Saint Georges-le-Gaultier élevaient jusqu’à 1500 têtes de bêtes à laine.
De cette terre les hommes y ont extrait un schiste ardoisier qui se retrouve dans les habitations. Les anciennes carrières ne sont maintenant qu’un vieux souvenir.
Au cours de ce quotidien laborieux, il y avait un travail réservé aux femmes qui semblait moins désagréable : celui du lavage. Suivez la Vaudelle par le GR36, vous arriverez au lavoir.
Le lavoir :
(En cours de restauration)
Les femmes couvertes d’un grand tablier, munies du carrosse (boîte garnie de paille pour s’agenouiller au lavoir), du battoir et de la planche allaient quotidiennement répéter ces gestes mécaniques.
Elles accomplissaient ce travail que l’on appelait « la buée ».
Le lavoir avait la réputation d’être un lieu de tous les commérages et aux dires des hommes :
–« on y tapait plu d’la goule que du battoué… »
Face au lavoir s’élève fièrement le viaduc, dernier témoin de l’évolution de notre histoire.
D’hier à aujourd’hui, du X° au XX° siècle, vous venez de parcourir 10 siècles d’Histoire.
Vous pouvez rejoindre le bourg en suivant le GR36.
Les Alpes Mancelles
Les Alpes. Dès que nous entendons ce nom nous pensons aux montagnes qui font la fierté de notre pays.
Il est cependant intéressant de savoir qu’à proximité de Paris (moins de 2 heures) vous pouvez retrouver des décors qui vous rappelleront la montagne : les Alpes Mancelles.
Cette anomalie géographique offre un décor et une nature préservés.
Le site est classé au sein des sites naturels de France
Le point culminant des Alpes Mancelles se situe à 417 mètre d’altitude.
Cela paraît peu en comparaison des Alpes, mais il permet d’offrir aux sportif en herbe et confirmés de magnifiques sites pour pratiquer leurs activités préférées.
Les activités plébiscitées sont nombreuses. Nous pouvons nommer l’escalade, les sports d’eaux tels que le canoë ou le kayak, le saut en élastique, la randonnée pédestre, le VTT, le Tir à l’arc…
De plus, les Alpes Mancelles gardent en leur sein des villages pittoresques qui ont su garder leur charme d’autrefois. Ainsi, venez vous promener dans Fresnay Sur Sarthe, Saint Léonard Des Bois, Saint Cénéri Le Gérei, Saint Georges Le Gaultier ou Bourg Le Roi.
Vous trouverez également des sites historiques peuplés de châteaux, manoirs, caves et musées
Vous retrouverez plus d’informations sur http://www.tourisme-alpesmancelles.fr/
Le pays Haute Sarthe
Le pays Haute Sarthe est une étape sur la route de vos vacances, mais, peut, également devenir la destination de vos vacances et/ou de vos week-ends
Facile d’accès grâces aux axes de circulation principaux (autoroute A28, Autoroute A11, Nationale 12), il vous fera apprécier des paysages rafraîchissants et émerveillant composés de montagnes et de vallées. Vous découvrirez des lieux où la nature est encore préservée. Un décor unique aux portes de la région parisienne vous offrant l’accès aux loisirs les plus variés comme la randonnée, la pêche ou l’escalade.
Dans le pays Haute Sarthe, l’ensemble de la population vous accueillera et vous fera profiter des moindres recoins vous offrant un spectacle inoubliable.
Retrouvez plus d’information sur http://www.payshautesarthe.fr
Saut à l’Elastique Pays de la Loire | ||||
---|---|---|---|---|
Saut Elastique Sarthe 72 | Saut Elastique Mayenne 53 | Saut Elastique Loire Atlantique 44 | Saut Elastique Vendée 85 | Saut Elastique Maine et Loire 49 |